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Dr Kiran (survivante du cancer du sein) Vivez la vie en termes de bonheur

Dr Kiran (survivante du cancer du sein) Vivez la vie en termes de bonheur

Le parcours du cancer

My name is Dr. Kiran, and I am a doctor. I was diagnosed with breast cancer in 2015. It started as a pain in the breasts with no other symptoms. The pain was constant for 2 to 3 days. As a doctor, I did a self-breast examination and felt a little lump in the left breast. I contemplated and related it to trivial matters like menstruation time. However, after two days of experiencing the symptoms, I consulted a gynecologist and got tested. She asked me to undergo a few diagnostic procedures like the FNAC test and sonography. The reports came out positive, confirming breast cancer.

Je suis allé seul pour faire tous les tests. Lorsque les membres de la famille ont appris que j'avais reçu un diagnostic de cancer du sein, ils ont été consternés car il n'y avait aucun autre symptôme de cancer. En tant que médecin, j'étais conscient que cela ne montrerait aucun symptôme et serait indolore la plupart du temps. Il n'est pas nécessaire d'avoir une tumeur maligne, donc chaque fois que des masses anormales sont observées, elles doivent consulter un médecin. Il serait conseillé à tout le monde de faire un auto-examen des seins de temps en temps et de vérifier s'il y a des grumeaux. Et pour chaque 2e anniversaire après 40 ans, on devrait obtenir un mammographie, quels que soient les symptômes ou les signes.

Ensuite, nous avons déménagé à Delhi pour un meilleur accès au traitement depuis Mumbai. L’idée initiale était de retirer uniquement les grosseurs et de conserver le sein. Mais dans le MRI rapporte qu'il a été observé que les grumeaux étaient plus gros que prévu. J’ai donc subi une mastectomie où tout le sein est retiré afin qu’il n’y ait plus de risque. 

En plus de la chirurgie, le plan de traitement comprenait également quatre séances de chimiothérapie et trente-cinq séances de radiothérapie.

Of all the treatments and procedures, the hardest is chemotherapy. While undergoing chemotherapy, there was a lot of physical pain, which was expected. But the emotional pain like distress, anguish, and agony overtook me as side effects of chemo sessions. The chemotherapy did take a toll on my mental health. I experienced suspicious thoughts about every small event or situation that happened around me. For every chemotherapy session, I was affected by a different set of side effects.

Pendant que les médecins de traitement du cancer remplissaient leurs fonctions en fournissant le bon traitement, il y avait des médicaments pour le soutien physiologique, puis venant à la santé mentale et au soutien physique, il y a les soignants, qui sont ma famille pour moi. Sans le soutien de la famille et des amis, il aurait été presque impossible de traverser la tourmente émotionnelle de la chimiothérapie

There is no single person in my family who hasn't supported me. Everyone around me was patient, strong, and persistent until the very end of the treatment, not only taking care of me but also handling my responsibilities. I couldn't point to one person who supported me in every aspect. At the time of diagnosis, my daughter's admission was scheduled beforehand, but due to the sudden diagnosis of breast cancer, I couldn't go along with my daughter. Then my sister-in-law came to help me by taking care of my daughter and helping her settle down in a new city. The rest of the family accompanied me to Delhi for treatment. They took care of me in every aspect, tolerated the tantrums I threw with patience, and were persistent until the very end, never leaving my side in any situation. When I couldn't eat solid food, my brother prepared foods that I could comfortably have. One day when I couldn't contain my anger, I took it out on my younger daughter, but in the end, she understood me and indirectly supported me. My mother-in-law said that everything at this point should be considered after my comfort when she got to know about my condition.

Pour l'inconfort et les effets secondaires de la chirurgie, j'ai pris de la physiothérapie. Pendant la radiothérapie, tout s'est bien passé jusqu'aux dernières séances, ma peau a été brûlée à cause des radiations. Pour traiter les effets secondaires des radiations, des médicaments ont été administrés, ce qui a contribué à réduire les effets secondaires. La musique m'a beaucoup aidé à gérer les effets secondaires. 

Après avoir vécu le cancer, la peur en moi a disparu, j'ai développé une attitude positive envers la vie. L'enthousiasme et la positivité en moi se sont multipliés après avoir traversé le cancer. 

After the treatment, I started going to cancer care societies/organizations. There were a lot of survivors, patients, and caregivers. Then I realized I was not alone; many others have gone through a lot more than I did. Those people I witnessed in society have changed another perspective of my thoughts: that one has to share their experiences. Our experiences and stories can give support to others who are going through pain. I attended cancer care workshops as a seeker; later, I became a volunteer and started helping others. I joined a music therapy group, participated in events, marathons, and many others while spreading awareness and support.

Mon point de vue sur la vie a changé après avoir survécu au cancer. J'ai découvert l'importance de la vie, que la vie n'est pas une question de longueur mais de profondeur. J'ai commencé à vivre ma vie en termes de bonheur. 

Réflexions sur le traitement du cancer

De nombreuses personnes essaient d'éviter un traitement contre le cancer pour diverses raisons. Mais une fois que le cancer est diagnostiqué, cela peut être accablant et déroutant, mais parler à un médecin des options disponibles concernant leur type de cancer et les traitements ou thérapies contre le cancer peut aider à prendre une meilleure décision concernant le choix du traitement. Même si le chemin du traitement est douloureux, il mène à une belle fin.

Message d'adieu 

En tant que survivante et médecin, je suggérerais à toutes les femmes de plus de 40 ans de passer un test de diagnostic du cancer tous les deux ans de leur vie. 

Il faut parler avec son cœur, partager ses expériences. Lorsque nous partageons notre douleur, elle diminue. 

Vivez la vie en termes de bonheur. 

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