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Dr Gayatri Bhat (survivant du myélome multiple)

Dr Gayatri Bhat (survivant du myélome multiple)

Il y a une raison très particulière pour laquelle j'aimerais partager mon histoire avec tous ceux d'entre vous qui liront ceci. Le mot Cancer évoque encore beaucoup de peur et de désespoir et les gens sont encore pétrifiés à l’idée d’être identifiés au cancer. Même à l’époque moderne d’aujourd’hui, vous serez surpris de voir à quel point la plupart d’entre nous sont ignorants au sujet du cancer. La plupart des gens associent le cancer à la mort, une fin douloureuse. Et c'est pour ceux-là et bien d'autres qui liraient ce livre avec qui, en tant que survivant du cancer, j'aimerais partager mon expérience.

À l’ère de la médecine moderne, nombreux sont ceux qui ont courageusement mené leur combat personnel contre le cancer et beaucoup ont réussi à s’en débarrasser. Il y a ceux qui continuent de se battre, sans jamais vouloir abandonner. Ne pensez-vous pas que leurs efforts doivent être appréciés ? La vie est un merveilleux cadeau pour chacun de nous et beaucoup d’entre nous la tiennent pour acquise. Mais lorsqu’une personne est atteinte d’une maladie potentiellement mortelle comme le cancer, chaque instant de la vie devient soudainement si précieux que l’on a envie de savourer chaque seconde passée avec ses proches. Il y a une force cachée en chacun de nous qui n’aurait peut-être pas fait surface autrement, mais lorsqu’une calamité survient, vous serez surpris de votre propre démonstration de courage et de courage.

Lorsqu'on m'a diagnostiqué un cancer pour la première fois en novembre 2001, j'ai été surpris de voir à quel point je connaissais peu mon cancer en tant que médecin. En tant que pédiatre, mes connaissances en médecine sur le cancer étaient limitées. Je suis mariée depuis 30 ans et mon mari et moi avons dû beaucoup lire et surfer sur Internet pour nous aider à comprendre mon cancer. De plus, j'ai eu la chance d'avoir de nombreux amis qui nous apportaient des articles et toute information qu'ils pouvaient recueillir sur le cancer. Il y a quelques années, on pensait qu'il valait mieux ne pas laisser un patient atteint de cancer en savoir beaucoup sur son état. Mais je pense qu'il est très important pour chaque patient atteint de cancer de comprendre son cancer, les modalités de traitement disponibles et d'essayer de profiter du meilleur qui est à votre disposition. Si l'on décide rien n'est impossible. L'idée est de ne jamais baisser les bras. 

Alors ici, je partage mon expérience avec le cancer. 

Tout a commencé en novembre 2001. Il n'y avait pas d'avertissement, car ma vie allait changer à jamais.

Je suis médecin de profession et marié à un pilote de l'Air Force depuis 30 ans. 

C'était en octobre 2001 et je réfléchissais aux joies de la vie, remerciant Dieu pour un mari aimant et deux belles filles alors âgées de huit et six ans. J'ai eu une carrière qui m'a plu. La vie était belle, bien remplie. J'étais tellement en paix avec moi-même. Je ne savais pas qu'à partir de maintenant, ma vie allait changer de façon majeure.

Au mois de novembre 2001, on m'a diagnostiqué un cas de plasmocytomes multifocaux, une variante du myélome multiple. Le myélome multiple est un cancer des plasmocytes. Dans le myélome, un seul plasmocyte défectueux (cellule myélomateuse) donne naissance à un nombre beaucoup plus important de cellules myélomateuses qui s'accumulent dans la moelle osseuse.

Le diagnostic n'a pas été facile, j'ai été opéré d'une lésion osseuse lytique (initialement diagnostiquée comme un ostéoclastome) sur ma jambe gauche (tibia) le 8 novembre 2001 et une biopsie a révélé qu'elle était "non hodgkinienne". Lymphome" à l'hôpital de base de Delhi. Un échantillon envoyé au Tata Memorial a signalé la tumeur comme étant un plasmocytome. Des investigations plus approfondies ont confirmé les diagnostics de plasmocytomes multiples. Sur une période de 5 mois, j'ai reçu 6 cycles de chimiothérapie. J'étais immobile car après l'opération, l'os de ma jambe avait été pas guéri (fracture non unie). Je n'étais toujours pas en rémission après la chimiothérapie et j'ai donc subi une greffe de moelle osseuse autologue le 3 septembre 2002 à l'hôpital militaire (R&R), N-Delhi. de 20 jours et maintenu en isolement dans un centre BMT. Cette greffe selon mes médecins était une chance pour moi de gagner du temps pour lutter contre ce cancer.

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